• Faire du coaching, c’est comme faire du jardinage…

    Dans le grand jardin (l’école, leLa métaphore du jardinier monde) vit un jardinier (le coach). Il regarde pousser des plantes de toutes sortes (les élèves). Il les aide à pousser, à grandir, à fleurir et à donner du fruit (le coaching scolaire).

    Les plantes sont originaires de multiples terreaux (famille, autre école, milieu social) et le jardinier leur apporte des engrais (outils de gestion mentale, du travail et du temps, …), ajoute du terreau (recentrage, nouveaux terrains pour reprendre confiance en soi), met des tuteurs (écoute, accompagnement, soutien moral, encouragements) pour que la plante puisse faire ses racines (ancrage dans la vie, estime de soi et confiance en soi), grimper et grandir (faire son chemin), se tourner vers le soleil (se fixer un objectif) et enfin porter des fruits (devenir créateur de sa vie).

    Les graines de ces plantes sont nées dans un terreau fertile (famille) mais ensuite, n’ont pas trouvé le bon jardinier (profs, écoles qui ne sont pas à l’écoute).
    D’autres graines sont nées dans un sol aride (pas d’encouragements, pas de soutien familial ni social) ou encore se sont semées toutes seules comme des pissenlits (livrés à eux-mêmes).
    Pour certaines graines, on a utilisé le «forçage» (on a visé l’objectif pour eux : «tu seras médecin mon fils» et sans tenir compte des particularités et des rêves des jeunes).
    Enfin, bon nombre de graines sont restées dans le sachet, abandonnées… (les laissés pour compte qu’on relègue d’un enseignement à un autre et d’une école à une autre en passant d’un échec à un autre).

    Mais le jardinier veille… Cela ne lui fait pas peur. En vérité, il adore ça!
    Avec persévérance et patience il reste très présent pendant la période où la plante est la plus fragile.
    Son expérience et ses compétences le guident pour qu’il ne force pas trop les doses d’engrais (savoir garder sa place, ne pas prendre celle du psy ni de l’assistante sociale), pour qu’il sache quand enlever les tuteurs (pouvoir déterminer la durée du coaching) et arrêter de donner de l’eau quand la pluie suffit (pouvoir laisser l’élève être autonome).

    Le résultat n’est pas garanti mais prometteur et les fruits qui donneront seront de qualité si la plante a bien profité de tous les bienfaits apportés par le jardinier.

    La métaphore du jardinier


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    En quelques coups de crayon, le métier de coach.


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  • La force intérieure du guerrier pacifique… L'instant présent!

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  • La force des croyances

    La force de vos croyances peut vous être bénéfique ou vous mener à la catastrophe…

    Quelles sont vos croyances à propos de l'école?

    Vous sont-elles profitables?


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